Le saviez-vous ?

Favoriser la biodiversité fonctionnelle. Le bord de champ est un véritable refuge pour la flore sauvage (80 % de la flore en bordure de champs n’est pas observée dans les parcelles cultivées), 90% des auxiliaires ont besoin à un moment de leur cycle biologique d’un milieu non cultivé : bordure de champ, buisson, haie, bande fleurie… (JP Sarthou Agro Toulouse INP, INRAE, AGIR).

Le saviez-vous ?

Lutter contre l’érosion des sols. Le bord de champs cultivé agit comme un frein à la fuite des éléments en dehors des parcelles grâce aux phénomènes de sédimentation et d’infiltration.

Le saviez-vous ?

Préserver la ressource en eau. Un sol herbeux ralentit l’écoulement des eaux de ruissellement et a une meilleure perméabilité qu’un sol travaillé. Il favorise la dégradation des résidus organiques et des produits phytosanitaires.